20} Webconférence "La voie du sentir" avec Churla par Mary Lys
29/11/17 - La voie du sentir - Avec Churla par Mary Lys
29/11/17 - La voie du sentir - Avec Churla par Mary Lys
Churla vous invite à lire le livre qui raconte son histoire :
" Kalawaya, Churla Chamane Bolivienne" par Henri Gougaud Ed. Le Relié
Vous pouvez aussi retrouver Churla et Henri Gougaud le 3 août prochain, à 14 h. sur RTL, à propos de ce livre dans l’émission de Jacques Pradel « Les aventuriers de l’inconnu ».
http://www.rtl.fr/emission/les-aventuriers-de-l-inconnu
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/rencontre-avec-churla-chamane-aymara-7789276866
Churla est une Indienne descendue des hauts-plateaux boliviens où vit encore ce qui reste du peuple Aymara. Dès l’âge de sept ans, elle fut initiée à l’art traditionnel des kalawayas (chamanes) par Vilma, accoucheuse, experte en plantes guérisseuses et familière de tout ce qui ressort de l’intelligence sensible : l’eau et la pierre, les arbres et les herbes. Il y a, dit-elle, dans ces « vivants » un savoir qui ne demande qu’à nourrir le nôtre, pour peu que l’on soit attentif à ce qu’ils ont à nous apprendre.
Après trois ans d’entretiens réguliers, voici le récit de la vie de Churla, la kalawaya.
Elle a connu Luis Ansa, le héros des Sept plumes de l’aigle : « Son initiation, dit-elle, fut celle des hommes, fondée sur la relation avec le feu et le minéral. La mienne fut celle des femmes, fondée sur la relation avec l’eau et la terre. » Cette femme paisible et joyeuse fut aussi une combattante révolutionnaire après la mort, dans son pays, de Che Guevara. Elle a fait des études de médecine, bien que fille de paysans pauvres. Un parcours de vie riche d’enseignements.
Préface
Churla, un petit bout d’Indienne descendue des hauts-plateaux boliviens où vit encore ce qui reste du peuple Aymara. Elle a aujourd’hui la soixantaine et vit à Genève. Dès l’âge de sept ans elle fut initiée à l’art traditionnel des kalawayas par Vilma, accoucheuse, experte en plantes guérisseuses et familière de tout ce qui ressort de l’intelligence sensible : l’eau et la pierre, les arbres et les herbes. Il y a, dit-elle, dans ces « vivants »-là un savoir qui ne demande qu’à nourrir le nôtre, pour peu que l’on soit attentif à ce qu’ils ont à nous apprendre. Tel est le credo des kalawaya. Parenthèse :
- En quelque sorte, Churla, tu es une chamane.
- Non, une kalawaya.
- Quelle différence ?
- Chez nous, les gens ne savent pas ce que signifie le mot chaman, mais ils savent ce que signifie le mot kalawaya.
Près de trois ans d’entretiens réguliers, voilà de quoi est fait le livre de la vie de Churla, la kalawaya des hauts-plateaux boliviens. En quoi ce récit m’a-t-il paru fécond et captivant autant qu’utile à nos incertitudes occidentales ? En ceci. Elle a connu Luis, le héros des Sept plumes de l’aigle. « Son initiation, m’a-t-elle dit, fut celle des hommes, fondée sur la relation avec le feu et le minéral. La mienne fut celle des femmes, fondée sur la relation avec l’eau et la terre. » Voilà qui ne pouvait que m’intéresser. Mais j’ai découvert plus.
Cette petite femme paisible et constamment joyeuse fut aussi une combattante révolutionnaire peu de temps après la mort, dans son pays, de Che Guevara. Elle était fille de paysans pauvres. Par d’étranges et poétiques détours, elle a pourtant fait d’aristocratiques études secondaires, puis universitaires. Elle a épousé l’une des jeunes têtes pensantes de la résistance à la dictature qui sévissait alors dans son pays. Après l’arrestation et la disparition de son mari elle a cherché jusqu’aux portes du siège de l’ONU, en compagnie d’autres femmes de disparus, ce qu’il était advenu de lui. Elle a découvert qu’il avait été exécuté et jeté dans un charnier qui a fini par être mis au jour. Elle a convaincu ses compagnes, mères ou femmes de disparus d’élever, sur ce charnier, non pas une stèle commémorative, mais une école, dont elle s’occupe aujourd’hui, la seule école de Bolivie, et sans doute du monde, où l’on apprend la langue aymara. Elle a enfin été forcée de grimper en catastrophe dans le premier avion venu, pour fuir une arrestation imminente. Il l’a conduite à Genève où son premier travail, m’a-t-elle dit avec un sourire amusé, fut celui de laveuse des morts dans un hôpital. Tout cela sans jamais rompre sa relation avec Vilma, son initiatrice qui, de loin, n’a cessé de la guider.
Comment n’aurais-je pas eu l’envie de raconter cette vie-là, si riche d’enseignements ? Je l’ai fait en lui laissant sans cesse la parole. Ce livre, c’est ce qu’elle m’a dit de son parcours, rien de plus, rien de moins.
Henri Gougaud
Au delà d'un défunt
Médiumnité et guérison au quotidien de Mahan Hannes Jacob
Présentation succinte :
Cet ouvrage de référence présente la médiumnité et ses apports au quotidien. Il démontre par des exemples concrets que les capacités d'un médium peuvent aller vers des processus de guérison physiques et psychiques . Il explique le karma, l'aura, les perceptions extra-sensorielles. Il propose des méditations et de nombreux exercices pour vivre au quotidien sa spiritualité.
En effet, le lecteur cherchant à comprendre l'humain dans ses différents états de conscience sera instruit en paroles simples et précises. Ce livre de travail nous fournit tous les éléments sur comment parler de manière concrète à des guides spirituels et défunts et insiste sur une pratique saine pour le corps et l'esprit.
Enfin ce livre nous démontre que l'éveil est dans la pratique et que la pratique est accessible à tout un chacun : Il suffit pour cela d'avoir l'envie sincère d'y arriver.
Tels sont les objectifs atteints avec succès par ce livre, qui est idéal pour celui ou celle qui désire aborder la médiumnité et complet pour qui cherche à servir autrui par des aptitudes médiumniques .
sources : éa Editions Attinger Catalogue 2016/2017 et miraclescom.com
Bonjour à tous,
Le 25 mars 2017 est organisée à Genève la 1ère Endomarche pour lutter contre cette maladie peu connue qu'est l'endométriose.
Merci de vous inscrire sur le site de S-Endo Association Suisse de soutien contre l'Endométriose :
http://s-endo.ch/endomarche/
Programme de l'EndoMarche du 25 mars 2017 à Genève :
13h30 : Rendez-vous au Parc des Chaumettes (devant les HUG)
17h00 : Arrivée de la marche devant le Jet d'Eau (Quai Gustave Ador) pour la lancée des ballons jaunes
Distance à parcourir : 2,7 km
Durée de la marche : 33 minutes
Pauses prévues
Détails voir site : s-endo.ch/endomarche
Plan de la l'EndoMarche du 25 mars 2017 à Genève
On compte sur vous !!
Les ouvrages ci-dessous ne sont pas des ouvrages choisis par Churla
Yvan Amar (1950-1999) a marqué par sa clarté, son humour et son savoir, tous ceux qui l'ont rencontré ou lu. Ce philosophe novateur a relié les sagesses d'Orient et les spiritualités d'Occident. C'est dans cet esprit que Nadège Amar a recueilli dans ses nombreuses conférences des textes d'une actualité surprenante. Consacrés à des thèmes qui nous concernent tous, ils posent des questions essentielles : comment convertir la peur en joie, quels sont les rapports entre sexualité et spiritualité, entre méditation et prière, comment vivre mieux la transmission entre enfants, parents et grands-parents, quel est le lien profond entre nous et la terre, comment arriver au dépassement de soi, au coeur tranquille, à la solidarité nécessaire... Trente leçons incontournables pour notre temps !
source:http://www.albin-michel.fr/Tisser-le-lien-EAN=9782226326300
(Emission non-choisie par Churla)
(ouvrage non-choisi par Churla)
Corine Sombrun se fait la plume d’Almir Narayamoga Surui, afin de raconter l’histoire d’un peuple et le destin d’un homme devenu représentant de la cause des Indiens Suruí et de la sauvegarde des ressources naturelles de la planète. Né en 1974, cinq ans après la visite du premier homme blanc dans le territoire des Indiens Suruí, au nord-ouest du Brésil, Almir Surui est considéré comme l’un des plus grands activistes autochtones d’Amérique du Sud. Prenant part à de nombreuses conférences internationales sur le changement climatique et le développement durable, il travaille également à présenter son projet de compensation carbone, consistant à demander aux plus gros pollueurs d’acheter des crédits- carbone qui pourraient permettre de financer la protection de la forêt amazonienne. Récompensé à Genève par le Prix des Droits de l’Homme et classé parmi les cent personnalités les plus importantes du Brésil, son combat contre la déforestation a fait de lui l’ennemi de nombreux exploitants forestiers, qui en 2007 ont placé un premier contrat de 100 000$ sur sa tête. Il a alors été évacué en Californie, où loin de se décourager, il a souhaité rencontrer les dirigeants de Google et leur présenter son projet : utiliser Google Earth pour montrer la détérioration galopante de la forêt amazonienne, ses conséquences pour l’environnement de la planète tout entière et celles, plus immédiates, pour les 400.000 Indiens du Brésil qui y vivent encore.
Le livre, lettre ouverte d’Almir Suruí à ses enfants, au cas où il serait assassiné, alterne entre son parcours personnel, son combat contre la catastrophe écologique qui menace l’humanité et l’histoire et les traditions de son peuple, les Paiter-Surui, surnommés “Les indiens Hi-tech” par la presse internationale.
source : www.corinesombrun.com
Lien :
Conférence : Sauver la planète
Liège le 26 mars 2015
avec Almir Narayamoga Surui, Corine Sombrun et Thomas Pizer